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Poésies inédites de Madame Desbordes-Valmore

1860155 x 230 mm

ÉDITION ORIGINALE
Bel exemplaire en cartonnage éditeur

180 

Description

ÉDITION ORIGINALE posthume donnée par le bibliophile Suisse Gustave Révilliod, bien complète du feuillet d'annonce en fin de volume.

Un Genevois bien connu de tous les amateurs de livres rares et curieux [...], M. Gustave Révilliod, vient d'acquérir un nouveau titre à la reconnaissance des lecteurs éclairés par la publication des poésies inédites de Mme Desbordes-Valmore. Il a réuni et noué en bouquet les dernières fleurs tombées de cette main fiévreuse et défaillante, il nous a fait entendre les derniers accens de cette voix que l'amour et la douleur avait rendue éloquente et inspirée. Ainsi c'est un Genevois qui a offert à la France souvent oublieuse cet héritage poétique d'un enfant de la France ; qu'il reçoive ici l'expression de notre reconnaissance pour cet acte de piété, et qu'une partie de cette reconnaissance revienne à cette noble ville de Genève, qui n'a jamais rien laissé perdre des trésors de la France [...] (Revue des deux Mondes)

Largement diffusé, ce recueil eut un rôle majeur dans la postériré de l'auteur ; il s'ouvre en effet sur ses vers les plus célèbres :

" Les femmes, je le sais, ne doivent pas écrire
J’écris pourtant
Afin que dans mon cœur au loin tu puisses lire
Comme en partant.
"

Bel exemplaire dans son cartonnage éditeur.

Vicaire III, 198.

Genève,Dentu,Imprimerie de Jules Fick,1860.In-8, Relié,155 x 230 mm,[2] ff. - 281 pp. - [1] f. .

Cartonnage éditeur : toile bleue, dos lisse avec titre et encadrement dorés, décor à la plaque à froid sur les plats.

Bio

Marceline Desbordes-Valmore

Marceline Desbordes-Valmore, née à Douai le 20 juin 1786 et morte à Paris le 23 juillet 1859.

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