Librairie

Miracles

1924125 x 190 mm

ÉDITION ORIGINALE .
Exemplaire du service de presse.
Envoi autographe signé de Jacques Rivière.

150 

Vendu

Description

ÉDITION ORIGINALE avec une introduction d'une centaine de pages de Jacques Rivière.

Exemplaire du service de presse, complet du prière d'insérer présentant l'ouvrage et l'auteur :
"Avant d'écrire le Grand Meaulnes et même pendant le temps où il y travaillait, Alain-Fournier avait donné à diverses revues des contes, non point fantastiques, mais plus exactement merveilleux : la vie familière et paysanne y montrait son envers  romanesque et surnaturel sans que l'auteur eût recours, semblait-il, à la moindre machine. Ce sont ces Miracles que l'on retrouvera dans le présent volume"

Envoi autographe signé de Jacques Rivière à la Revue Europe:

"Hommage du préfacier à Europe
Jacques Rivière"

Peu courant avec envoi.

Paris,Gallimard,N.R.F.,1924.In-18, Broché,125 x 190 mm,217 [6] pp.

Dos uniformément insolé avec petit frottement, petites déchirures au mors inférieur, petit manque en marge inférieure du premier plat de couverture et sur les 10 premiers feuillets.
Quelques piqures.

Bio

Henri Alain-Fournier

Henri-Alban Fournier

(né le 3 octobre 1886 à La Chapelle-d’Angillon dans le Cher et tué au combat le 22 septembre 1914à Saint-Remy-la-Calonne)

Henri-Alban Fournier, né à La Chapelle-d’Angillon, passe une partie de son enfance à Epineuil-le-Fleuriel où ses parents sont instituteurs. A douze ans, il intègre le lycée Voltaire à Paris, puis le lycée Lakanal de Sceaux. Après son service militaire, il abandonne l’idée d’entrer à l’Ecole Normale, et rentre, grâce à Charle Morice, à Paris-Journal et rédige pendant plusieurs années une chronique littéraire. Il donne aussi à plusieurs revues, des poèmes, essais et nouvelles. Mais Alain-Fournier consacre la plus large partie de son temps à l’écriture d’un roman, le Grand Meaulnes. Publié d’abord en feuilleton, dans La NRF, il est édité en volume, chez Emile-Paul Frères, en septembre 1913. Le succès est immédiat et l’ouvrage rate de peu le prix Goncourt. En 1914, Alain-Fournier commence un nouveau roman, Colombe Blanchet et une pièce de théâtre. Mais la guerre l’arrête. Il est mobilisé le 2 août et rejoint le 288e régiment d’infanterie qui participe à la bataille de la Marne. Envoyé en reconnaissance près de Saint-Remy, il franchit avec sa compagnie la tranchée de Calonne et tombe dans une embuscade. Il est tué sur le coup. Il avait 28 ans.

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